Caterina Magni a suivi une formation universitaire en archéologie et histoire de l’art à Paris. En 1994, elle a soutenu une thèse de Doctorat, sous la direction de Michel Perrin (L.A.S-Paris), à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, où elle s’est formée à l’ethnologie et à l'anthropologie. Sa recherche portait sur l’iconographie olmèque (Mexique).
De 1996 à 2000, elle a occupé un poste de Maître de conférences à l’université de Toulouse-Le Mirail, où elle a dispensé un enseignement en archéologie précolombienne, en ethnologie/ anthropologie et en histoire de l’art des Temps Modernes (portant, en particulier, sur la Renaissance italienne).
En 2004, elle a soutenu une Habilitation à diriger des recherches sur l'écriture olmèque (HDR : Théorie et pratique de l’archéologie Sorbonne-Paris IV).
De 2001 à 2016, elle a occupé un poste d'enseigant-chercheur (Maître de conférences habilitée) à l'université de Paris-Sorbonne (Paris IV).
De 1996 à 2000, elle a occupé un poste de Maître de conférences à l’université de Toulouse-Le Mirail, où elle a dispensé un enseignement en archéologie précolombienne, en ethnologie/ anthropologie et en histoire de l’art des Temps Modernes (portant, en particulier, sur la Renaissance italienne).
En 2004, elle a soutenu une Habilitation à diriger des recherches sur l'écriture olmèque (HDR : Théorie et pratique de l’archéologie Sorbonne-Paris IV).
De 2001 à 2016, elle a occupé un poste d'enseigant-chercheur (Maître de conférences habilitée) à l'université de Paris-Sorbonne (Paris IV).
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